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SuCoDi - Superviser en contexte de diversités

Feuillet d’information pour un consentement implicite et anonyme

Madame, Monsieur, 

Nous vous sollicitons afin de prendre part à une étude qui s'intitule : « Superviser en contexte de diversités ».

Contexte du projet 
Cette recherche au devis mixte, transversal et séquentiel (2022-2026) est réalisée sous la direction de Yvan Leanza, Ph. D., professeur titulaire à l’École de Psychologie de l’Université Laval. Elle est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). Ce projet a été approuvé par le Comité d’éthique de la recherche de l’Université Laval : No d’approbation 2022-278 / 27-07-2022 


Information

Avant d'accepter de participer à ce projet de recherche, veuillez prendre le temps de lire et de comprendre les renseignements qui suivent. Ils vous expliquent le but de ce projet de recherche, ses procédures, avantages, risques et inconvénients. Nous vous invitons à poser toutes les questions que vous jugerez utiles à la personne de contact suivante :

Marianne Couillard Larocque
Étudiante au doctorat en psychologie et coordonnatrice du projet
marianne.couillard-larocque.1@ulaval.ca 

 

Nature et objectifs de l'étude

Cette étude vise à mieux comprendre l’expérience des psychologues cliniciens qui supervisent des étudiants ou des collègues qui interviennent dans un contexte de diversités. Les situations de supervision interculturelle demandent aux superviseurs d’appuyer leurs supervisés dans le développement de leurs compétences culturelles. Les enjeux culturels rencontrés peuvent être associés à plusieurs dimensions, telles que l’ethnicité, l’appartenance à un groupe racisé, la religion, l’identité de genre, l’orientation sexuelle, la classe sociale/statut socioéconomique, l’âge ou les handicaps physiques ou intellectuels. L’étude cherche donc à identifier les caractéristiques psychologiques, les représentations, les pratiques et besoins des superviseurs cliniques qui ont à naviguer ces situations. L’objectif ultime du projet est de proposer des solutions aux défis qu’ils rencontrent. L’étude comprend deux phases : la 1ère consiste à remplir un questionnaire en ligne et la 2e consiste à réaliser un entretien semi-dirigé. La participation aux deux phases n’est pas obligatoire. 
 

Déroulement de la participation

  1. La participation à cette première phase comprend la complétion d’un questionnaire en ligne d’une durée d’environ 30 minutes. Ce questionnaire comporte  des questions sociodémographiques ainsi que des questions visant à saisir votre perspective sur la supervision en contexte de diversités.
  2. À la fin du questionnaire, vous serez invité à participer à la deuxième phase du projet (non obligatoire). Si vous le souhaitez, vous pourrez laisser vos coordonnées afin que l’équipe de recherche vous recontacte. La participation à la deuxième phase du projet consiste en une entrevue d’environ 60 minutes afin de discuter plus en détail de vos expériences de supervision interculturelles (situations rencontrées, stratégies et outils utilisés, ressenti, les défis et questionnements rencontrés, etc.). Cette rencontre peut se faire en face à face, par téléphone ou par Zoom, à votre convenance.
 

Avantages et inconvénients possibles liés à la participation

Nous ne pouvons vous garantir que vous retirerez un bénéfice direct en participant à cette étude. Toutefois, vous contribuerez à l'avancement des connaissances sur la supervision clinique interculturelle. 

 

Outre le temps investi pour répondre aux questionnaires, la nature du sujet abordé (situation de supervision interculturelle) pourrait susciter un inconfort et un malaise chez certaines personnes. Si certaines questions vous ont fait vivre un inconfort, il est possible de contacter les ressources d’aide suivantes :

  • Le Centre de crise de Québec, disponible 24/7 au 418-688-4240
  • Le Centre de Prévention du Suicide de Québec (CPSQ), disponible 24/7 au1-866-APPELLE
  • https ://www.indexsante.ca/clsc/ pour trouver un CLSC près de chez vous

Si ces ressources ne répondent pas à vos besoin, vous pouvez vous référer à Marianne Couillard Larocque (marianne.couillard-larocque.1@ulaval.ca), doctorante en psychologie et coordinatrice du projet, afin de discuter de votre situation et d’être redirigé vers une ressource appropriée.

 

Droit de retrait

Votre participation se fait sur une base volontaire. À tout moment, peu importe la raison, vous pouvez décider d'interrompre votre participation, sans conséquence d'aucune sorte. 

 

Si vous participez seulement à la première phase (questionnaire en ligne), aucune donnée permettant de vous identifier (ex. : nom, coordonnées) ne sera recueillie par le questionnaire. En conséquence, les données obtenues d’un participant qui choisirait de se retirer du projet après avoir soumis son questionnaire ne pourront être détruites. 

 

Si vous choisissez de participer à l'entretien semi-dirigé, des coordonnées permettant de vous identifier seront recueillies dans le questionnaire. Vous pourrez donc demander le retrait de vos données recueillies dans le cadre du projet.

 

Confidentialité et gestion des données

Cette recherche est réalisée suivant les règles habituelles de confidentialité et d'éthique en vigueur au Québec. Nous vous assurons l'entière confidentialité des renseignements que vous nous fournirez, lesquels seront accessibles uniquement à l’équipe de recherche. 

 

Si vous participez seulement à la première phase (questionnaire en ligne), aucune donnée permettant de vous identifier (ex. : nom, coordonnées) ne sera recueillie par le questionnaire. Ainsi, votre participation à ce projet étant anonyme, il ne sera jamais possible de vous identifier. 

 

Si vous choisissez de participer à l'entretien semi-dirigé, des coordonnées permettant de vous identifier seront recueillies dans le questionnaire. Veuillez noter que seule la coordonnatrice de recherche aura accès aux données personnelles. Vos coordonnées resteront également confidentielles. Vous serez identifié-e par un code. La liste des codes reliant votre nom à votre dossier de recherche sera conservée sous clé. 

 

L'ensemble des données sera détruit 10 ans après la fin du projet, soit en 2036.

Par ailleurs, les résultats de cette recherche pourront être publiés ou communiqués dans un congrès scientifique, mais aucune information pouvant vous identifier ne sera alors dévoilée.

 

Compensation

En répondant au questionnaire en ligne, vous participez à un tirage au sort pour remporter l’une des 15 cartes Visa/Mastercard prépayées d’une valeur de 100$. Ce tirage au sort sera effectué à l’Université Laval, en présence d’un témoin, une semaine après la fermeture de l’accès au questionnaire en ligne. Les gagnant-e-s seront informé-e-s par courriel. Si vous choisissez de participer à l'entretien semi-dirigé vous recevrez un dédommagement de 50$. 

 

Retour sur les résultats de l'étude

Une fois l'étude complétée (2026), une synthèse des résultats vous sera acheminée à votre demande par courriel. Vous pourrez laisser vos coordonnées à cet effet à la fin du questionnaire.

 

Vous pouvez imprimer et conserver une copie de ce formulaire pour vos dossiers et pour le consulter en cas de besoin.

 

Remerciements 

Nous vous remercions vivement de votre participation dans la réalisation de cette étude. Votre collaboration est vraiment précieuse !

  

L’équipe de recherche

M. Yvan Leanza

Professeur titulaire à l’École de psychologie de l’Université Laval

Pavillon Félix-Antoine-Savard, bureau 1416

2325, rue des Bibliothèques, Québec (QC) G1V 0A6

yvan.leanza@psy.ulaval.ca 

 

Marianne Couillard Larocque

Coordinatrice du projet et doctorante en psychologie

École de psychologie de l’Université Laval 

Pavillon Félix-Antoine-Savard, local 14

2325, rue des Bibliothèques, Québec (QC) G1V 0A6

marianne.couillard-larocque.1@ulaval.ca 

 

Mme Maya Yampolsky

Professeure adjointe à l’École de psychologie de l’Université Laval

Pavillon Félix-Antoine-Savard, bureau 1414

2325, rue des Bibliothèques, Québec (QC) G1V 0A6

maya-a.yampolsky@psy.ulaval.ca 

 

Mme Sophie Gilbert

Professeure régulière au Département de psychologie de l’Université du Québec à Montréal

Pavillon Adrien-Pinard, Local SU-2225

100, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (QC) H2X 3P2

gilbert.sophie@uqam.ca 

 

Mme Camille Brisset 

Maître de conférence titulaire au Département de psychologie de l’Université de Bordeaux

Faculté de psychologie

3ter Pl. de la Victoire, 33000 Bordeaux, France

camille.brisset@u-bordeaux.fr 

 

Consentement

En cliquant sur le bouton "Suivant" ci-dessous :

 
  • J'accepte librement de participer à cette étude nommée « Superviser en contexte de diversités ».
  • J'ai pris connaissance du contenu de cette page et je comprends les objectifs poursuivis et le rôle que je vais jouer dans cette étude.
 

Si vous avez des critiques ou des plaintes à formuler concernant votre participation au projet, vous pouvez communiquer avec l’Ombudsman de l’Université Laval. Cette démarche sera traitée de façon confidentielle.

 

Bureau de l’ombudsman

Pavillon Alphonse-Desjardins

Université Laval

2325, rue de l’Université, local 3320

Québec (QC) G1V 0A6

418-656-3081 ou 1-866-323-2271 (ligne sans frais)

info@ombudsman.ulaval.ca

 

 

Ce projet a été approuvé par le Comité d’éthique de la recherche de l’Université Laval : No d’approbation 2022-278 / 27-07-2022 

Pour mieux vous connaitre

Instructions:

Veuillez répondre aux questions suivantes. Aucune question n'est obligatoire. Si vous souhaitez enregistrer vos réponses et revenir au questionnaire plus tard, cliquez sur le lien Finir plus tard situé en haut de la page à droite.

Définition :

Dans ce questionnaire, les termes "culture/culturel" font référence à plusieurs dimensions: l'appartenance à un groupe racisé, l’ethnicité, la religion, l'identité de genre, l’orientation sexuelle, la classe sociale/statut socioéconomique, l'âge et au handicap physique ou intellectuel. En ce sens, le terme interculturel fait référence aux interactions qui existent entre ces différentes dimensions. Le terme diversité est également utilisé pour faire référence à ces dimensions.

Quelle est votre identité de genre (cochez toutes les réponses applicables) ?

Quel âge avez-vous ?
ans
Quelle(s) est/sont votre ou vos nationalité(s) ?
Quel est votre pays de naissance ?
Quels sont les trois premiers caractères du code postal de votre pratique (p.ex. G1V) ?

À quel(s) groupe(s) vous identifiez-vous ?

Est-ce que vous vous identifiez à d’autres groupes susceptibles de vivre de la discrimination (intolérance religieuse, homophobie, transphobie, classisme, âgisme, capacitisme, etc.) :
Si oui, à quel(s) groupe(s) susceptibles(s) de vivre de la discrimination vous identifiez-vous ?
Quelles sont vos compétences/connaissances linguistiques ? 
Avez-vous vécu des expériences interculturelles significatives ou marquantes (cochez toutes celles qui s’appliquent) ?

Formation 


 

Durant vos études quelle a été votre formation à l’évaluation ou l’intervention en situation interculturelle ?  

Quels aspects/enjeux ont été abordés dans ce ou ces cours (cochez tous ceux qui sont applicables) ?

Avez-vous déjà suivi un ou des ateliers ou formations sur l’évaluation ou l’intervention en situation interculturelle en plus ou après votre cursus scolaire (p.ex. formation continue, atelier, etc.) ?
Si oui, combien d’heures d’atelier ou de formation avez-vous complétées (approximativement) ?
heures

Quels aspects/enjeux ont été abordés dans ces ateliers ou formations (cochez tous ceux qui sont applicables) ?

Durant vos études, quelle a été votre formation à la supervision clinique en situation interculturelle ?
Quels aspects/enjeux ont été abordés dans ce ou ces cours (cochez tous ceux qui sont applicables) ? 
Avez-vous déjà suivi une ou des formations sur la supervision clinique en situation interculturelle en dehors de votre cursus scolaire ?
Si oui, combien d’heures d’atelier ou de formation avez-vous complétées (approximativement) ?
heures

Quels aspects/enjeux ont été abordés dans ces ateliers ou formations (cochez tous ceux qui sont applicables) ?

Pratique comme psychologue


En quelle année avez-vous obtenu votre permis de l’Ordre des psychologues du Québec ?

Combien d'années avez-vous pratiqué à titre de psychologue (excluant les arrêts de travail) ?
ans
Avez-vous déjà pratiqué la psychologie à l’extérieur de la province de Québec?

Au cours des deux dernières années, auprès de quelle population avez-vous exercé votre métier de psychologue (ex. migrants, enfants porteurs d’un trouble autistique, personnes âgées, cadres d’entreprise, etc.) ?

Au cours des deux dernières années, estimez approximativement quel pourcentage de vos expériences d’évaluation ou d’intervention a demandé que vous abordiez des enjeux reliés à l’ethnicité ou à l’appartenance à un groupe racisé.
%
Au cours des deux dernières années, estimez approximativement quel pourcentage de vos expériences d’évaluation ou d’intervention a demandé que vous abordiez des enjeux concernant d’autres formes de diversités (religion, identité de genre, classe sociale/statut socioéconomique, âge, handicap physique ou intellectuel, etc).
%
Quel niveau d'importance accordez-vous aux enjeux interculturels dans vos interventions auprès de vos clients ?
Vous identifiez-vous comme ayant une ou des spécialisations cliniques reconnues par l’OPQ ?  

Précisez laquelle ou lesquelles :  

Comment définissez-vous votre/vos orientation(s) théorique(s) (p.ex. psychanalytique, systémique, cognitive-comportementale) ? Indiquez toutes celles auxquelles vous vous identifiez, par ordre d’importance, de la plus importante à la moins importante:

Supervision clinique


Combien d’années de pratique avez-vous comme superviseur clinique ?

ans
Combien de personnes avez-vous supervisé au cours de votre carrière ? 
Combien de personnes avez-vous supervisé au cours des deux dernières années ?
ans
Mois typique de travail (activité comme superviseur) :
  • heure(s)
  • heure(s)

Au cours des deux dernières années, estimez approximativement quel pourcentage de vos expériences en supervision était de la supervision de pré-diplomation (supervision d’étudiants au doctorat) et de post-diplomation (supervision de collègues psychologues ou psychothérapeutes diplômés).

  • %
  • %
Au cours des deux dernières années, auprès de quelle(s) population(s) les personnes que vous avez supervisées ont-elles exercé leur activité de psychologue ou psychothérapeute (ex. migrants, enfants porteurs d’un trouble autistique, personnes âgées, cadres d’entreprise, etc.) ?
Au cours des deux dernières années, estimez approximativement quel pourcentage de vos expériences de supervision a demandé que vous abordiez des enjeux reliés à l’ethnicité ou à l’appartenance à un groupe racisé.
%
Au cours des deux dernières années, estimez approximativement quel pourcentage de vos expériences de supervision a demandé que vous abordiez des enjeux concernant d’autres formes de diversité (religion, identité de genre, orientation sexuelle, classe sociale/statut socioéconomique, âge, handicap physique ou intellectuel, etc.).
%

Quelles étaient ces types de diversités ?

Quel niveau d'importance accordez-vous aux questions interculturelles en supervision clinique ?
À quel point vous sentez-vous prêt·e à superviser une personne qui appartient au même groupe culturel que vous et qui intervient en contexte de diversité ?
À quel point vous sentez-vous prêt·e à superviser une personne qui appartient à un groupe culturel différent du vôtre et qui intervient en contexte de diversité ?
Pour connaitre la situation

Instructions: 

Veuillez lire les énoncés suivants en vous référant à une expérience de supervision interculturelle récente. Veuillez choisir une situation de supervision dans laquelle au moins une différence culturelle existait entre la personne que vous supervisiez et son client. Veuillez tenir compte de vos interactions avec une seule personne supervisée dans vos réponses. Étant donné la définition très large du terme "culture", veuillez choisir une situation de supervision dans laquelle un ou des enjeux interculturels vous ont semblés significatifs, dans le sens qu'ils sortaient de la pratique habituelle. 

Rappel (définition) :

Dans ce questionnaire, les termes "culture/culturel" font référence à plusieurs dimensions: l'appartenance à un groupe racisé, l’ethnicité, la religion, l'identité de genre, l’orientation sexuelle, la classe sociale/statut socioéconomique, l'âge et au handicap physique. Dans ce sens, le terme interculturel fait référence aux interactions qui existent entre ces différentes dimensions. Le terme diversité est également utilisé pour faire référence à ces dimensions.

Veuillez décrire la situation choisie en quelques mots. Un portrait général est suffisant, des informations plus précises vous seront demandées dans les prochaines questions.

Combien d’heures (approximativement) avez-vous consacrées à la supervision de ce cas particulier ?

Est-ce qu'il s'agissait de supervision pré-diplomation (supervision d'un·e doctorant·e en psychologie) ou post-diplomation (supervision d'un·e collègue psychologue) ?

Quelle(s) étai(en)t la ou les différences(s) culturelle(s) entre la personne supervisée et son client ? Veuillez cocher toutes celles qui s’appliquent :  

Est-ce qu’il y avait une ou des différence(s) culturelle(s) entre vous et la personne supervisée ?

Si oui, quelles étai(en)t la ou les différences(s) culturelle(s) entre vous et la personne supervisée ? Veuillez cocher toutes celles qui s’appliquent :

Est-ce qu’il y avait une ou des différence(s) culturelle(s) entre vous et le client ?

Si oui, quelle(s) étai(en)t la ou les différences(s) culturelle(s) entre vous et le client. Veuillez cocher toutes celles qui s’appliquent. 

Veuillez indiquer à quel point les enjeux interculturels entre votre supervisé et son client ont été intentionnellement explorés dans cette relation de supervision ?
Veuillez évaluer dans quelle mesure vous avez guidé votre supervisé pour qu’il aborde les enjeux interculturels dans le cadre de la thérapie avec le client ?  
Pour explorer la situation

Instructions: 

En remplissant cette deuxième portion du questionnaire, veuillez-vous référer la même situation de supervision interculturelle que pour la première partie. Veuillez envisager le processus d’acquisition de compétences interculturelles comme un effort continu; il est donc entendu que la plupart des superviseurs praticiens peuvent avoir une expérience limitée dans certains domaines.

Veuillez utiliser l'échelle d'évaluation suivante :

1= Jamais 2= Rarement 3= Occasionnellement 4= Parfois 5= Souvent 6= Très souvent 7= Toujours

J’ai démontré que je respectais les croyances et les pratiques culturelles de la personne supervisée.  
J’ai encouragé la personne supervisée à réfléchir aux enjeux culturels lorsqu’elle travaillait avec son client.
J'ai aidé la personne que je supervisais à réfléchir à l’influence de son identité culturelle sur son identité professionnelle.
J’ai aidé la personne supervisée à comprendre comment les styles culturels de communication peuvent affecter ses interactions avec son client.
J’ai de bonnes connaissances sur les communautés culturelles qui sont différentes de la mienne.
J’ai aidé la personne supervisée à identifier d’autres occasions d'acquérir de l'expérience clinique interculturelle.
J’ai interagi avec la personne supervisée de manière à éviter de lui attribuer des stéréotypes.
J’ai informé la personne supervisée des ressources disponibles pour en apprendre davantage sur les questions culturelles en clinique.
J'ai conscience de la manière dont les questions culturelles pourraient avoir influencé notre relation de supervision.
La personne supervisée s’est sentie à l’aise de me parler d’opinions divergentes qui sont dues à des questions culturelles.
J ’ai aidé la personne supervisée à comprendre comment les principales orientations théoriques en psychologie reposent sur des postulats liés à des valeurs qu'il est pertinent de considérer en clinique interculturelle.
J’ai compris comment les styles culturels de communication pourraient affecter les interactions entre la personne supervisée et moi.
J’ai favorisé une relation de travail collaborative avec la personne supervisée.
J’avais conscience de certaines croyances et normes culturelles qui sont (étaient) importantes pour la personne supervisée.
J’ai encouragé la personne supervisée à exprimer librement ses opinions et ses préoccupations au sujet de sa compréhension clinique du client. 
16. En évaluant les compétences cliniques de la personne supervisée, j’ai pris en considération ses aptitudes dans des situations interculturelles.
J'ai apprécié pouvoir apprendre de la personne supervisée et de notre relation de supervision.
Pour explorer différentes facettes de votre personnalité

Instructions:

En utilisant l'échelle suivante, veuillez indiquer dans quelle mesure les constats ci-dessous s’appliquent à vous (1 - Pas du tout d’accord / 5 - Tout à fait d'accord).  

J’attends que les autres fassent le premier pas.
Je tiens compte des émotions des autres.
Je suis souvent celui/celle qui fait bouger les choses.
J’ai des hauts et des bas.
J’ai le contact facile en groupe.
J’agis en général selon un schéma précis.
J’approche facilement les gens.
Je suis fasciné(e) par les différences.
Je recherche une vie régulière.
Je suis nerveux(se).
Je fais les choses comme prévu.
Je suis facilement perturbé(e).
J’aime que les choses bougent.
Je suis attentif/ive aux expressions des visages.
Je préfère attendre et voir venir.
Je me fais facilement du souci.
Je trouve un intérêt aux autres religions.
Je sais bien écouter les autres.
Je prends du recul par rapport à ma culture.
Je supporte mal la critique.
Je m’intéresse aux autres cultures.
J’ai des habitudes établies.
Je comprends ce que les autres ressentent.
Je m’immerge dans d’autres cultures.
Je reste calme quand les choses vont mal.
Je prends l’initiative.
Je cherche le contact avec des gens venant d’horizons différents.
J’agis selon des règles strictes.
Je remarque tout de suite quand quelqu’un a des ennuis.
Je mets du temps à démarrer.
Je me souviens de ce que les autres ont raconté.
J’ai peur de l’échec.
Je suis capable d’exprimer les pensées des autres.
Je sens bien ce qui convient dans d’autres cultures.
J’évite l’imprévu.
Je suis sous pression.
Je veux savoir exactement ce qui va se passer.
Pour mieux comprendre votre façon d'entrer en relation

Instructions: 

En utilisant l'échelle suivante, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord (5- Tout à fait d’accord) ou non (1- Pas du tout d’accord) avec les énoncés suivants.

Je sais que les autres seront là quand j’aurai besoin d’eux.

 

 

Quand je montre mes sentiments pour les autres, j’ai peur qu’ils ne ressentent pas la même chose vis-à-vis de moi.

 

 

Je deviens nerveux(se) quand quelqu’un se rapproche trop de moi.

 

 

Je me demande souvent si mes amis m’apprécient vraiment.

 

 

Je ne suis pas certain(e) de pouvoir toujours compter sur les autres quand j’ai besoin d’eux.

 

 

Je me demande souvent si les autres se préoccupent de moi.

 

 

Je remarque que les gens ne me laissent pas me rapprocher d’eux comme je le voudrais.

 

 

Il est difficile pour moi de laisser les gens se rapprocher de moi.

 

 

Je suis à l’aise pour créer des relations proches avec les autres.

 

 

Les gens ne sont jamais là quand on a besoin d’eux.

 

 

Je veux être proche des gens mais j’ai peur d’être bléssé(e).

 

 

Il est facile pour moi de compter sur les autres.

 

 

Je suis plutôt mal à l’aise quand je suis proche des gens.

 

 

Souvent mes amis veulent que je sois plus proche d’eux, que je ne le supporte.

 

 

Il m’est difficile de devoir compter sur les autres.

 

 

J’ai souvent peur qu’un jour mes amis ne veulent plus être amis avec moi.

 

 

Il m’est difficile de faire entièrement confiance aux autres.

 

 

L’idée que quelqu’un pourrait se rapprocher de moi me rend nerveux(se).
Pour connaitre votre point de vue

Avertissement : 

Ce questionnaire comporte des questions de nature sensible à propos de stéréotypes qui pourraient choquer certains participants. 

Instructions :

Veuillez indiquer dans quelle mesure chaque énoncé représente votre point de vue en sélectionnant le chiffre correspondant à votre réponse.

(1 = Fortement en désaccord à 5 = Tout à fait d’accord)

 

 

Les mariages entre deux femmes ne devraient pas être légaux.
Les chrétiens sont intolérants envers les personnes ayant d’autres croyances religieuses.
Les personnes qui bénéficient à long terme de l'aide sociale n'ont pas envie de travailler.
J’appuierais des lois qui permettent aux personnes appartenant à des minorités ethniques de louer ou d’acheter une maison, même si la personne qui vend ou loue la propriété ne souhaite pas vendre ou louer à des membres des minorités.
Les femmes devraient moins se préoccuper de leurs droits et être davantage soucieuses de devenir de bonnes mères.
On ne peut pas s’attendre à avoir une conversation complexe et intéressante avec la plupart des personnes âgées.
Cela ne me dérange pas  que les entreprises utilisent des célébrités  ouvertement lesbiennes pour faire de la publicité pour  leurs produits.
Les chrétiens ont tendance à se considérer moralement supérieurs aux autres.
L’aide sociale maintient l'État endetté.
Les minorités racisées ont plus d’influence sur les contenus éducatifs et la langue qu’elles ne devraient en avoir.
Il est contre nature pour une femme de travailler dans la construction et pour un homme d’être père au foyer.
La plupart des personnes âgées auraient une mauvaise hygiène personnelle.
Je ne pense pas que cela affecterait négativement notre relation si j’apprenais qu’un des membres de ma famille était transgenre.
Les Juifs sont malhonnêtes et avides d’argent.
Les gens qui ne gagnent pas beaucoup d’argent sont généralement peu motivés.
Les minorités ethniques deviennent trop exigeantes dans leurs luttes pour l’égalité des droits.
Le leadership intellectuel d’une communauté devrait reposer en grande partie entre les mains des hommes.
La plupart des personnes âgées peuvent être irritantes parce qu’elles racontent continuellement les mêmes histoires.
Les lesbiennes et les gais devraient suivre une thérapie visant à changer leur orientation sexuelle.
Les athées et les agnostiques sont plus égocentriques que les personnes appartenant à d'autres groupes religieux.
Les itinérants devraient se prendre en main et devenir des membres productifs de la société.
C’est une mauvaise idée que les minorités ethniques et les Blancs développent des relations amoureuses les uns avec les autres.
En général, le père devrait avoir plus d’autorité que la mère dans l’éducation des enfants.
Les personnes âgées n’ont pas vraiment besoin d’utiliser nos installations sportives communautaires.
J'accueille volontiers de nouveaux amis qui sont transgenres.
Les musulmans sont plus violents que les personnes appartenant à d'autres groupes religieux.
Une trop grande part de mes impôts est dépensée pour prendre soin de ceux qui ne veulent pas prendre soin d’eux-mêmes.
Les minorités ethniques ne devraient pas s’imposer là où elles ne sont pas bienvenues.
Il y a de nombreux emplois pour lesquels les hommes devraient avoir priorité sur les femmes pour être embauchés ou promus.
Il vaut mieux que les personnes âgées vivent là où elles ne dérangeront personne.
Je m’assurerais d’inviter la partenaire de mon amie lesbienne à ma fête.
Les adeptes du vaudou ont des pratiques démoniaques à peine voilées.
Si chaque personne faisait sa part, il n’y aurait pas de pauvreté.
Cela me dérangerait beaucoup si une famille appartenant à une minorité ethnique et ayant un revenu et un niveau d'éducation similaires aux miens emménageait à côté de chez moi.
Les femmes ne devraient pas s’imposer là où elles ne sont pas bienvenues.
La compagnie de la plupart des personnes âgées est assez agréable.
Je suis à l’aise de voir deux hommes se tenir la main.
De nos jours, de nombreux problèmes sociaux au Québec sont causés par des minorités religieuses.
Il y a plus de personnes pauvres que de personnes riches dans les prisons parce que les personnes pauvres commettent plus de crimes.
Les revendications des femmes en matière d’égalité des sexes sont tout simplement exagérées.
J’évite parfois d'établir un contact visuel avec des personnes âgées lorsque je les vois.
Les films qui cautionnent l’homosexualité masculine me dérangent.
L'hindouisme n'est pas une religion sérieuse parce qu'elle comporte de nombreux dieux animaux ridicules et étranges.
Les personnes pauvres sont paresseuses.
Au cours des dernières années, les minorités ethniques ont obtenu plus sur le plan économique qu’elles ne le méritent.
Au cours des dernières années, les femmes ont obtenu plus du gouvernement qu’elles ne le méritent.
Je n’aime pas quand des personnes âgées tentent de converser avec moi.
Les personnes trans veulent trop de droits.
En dépit de ce que les bouddhistes affirment, le bouddhisme n’est pas vraiment une religion, mais plutôt une philosophie.
La plupart des personnes pauvres sont endettées parce qu’elles ne sont pas capables de gérer leur argent.
Au cours des dernières années, le gouvernement et les média ont démontré plus de respect aux minorités ethniques qu’elles n’en méritent.
Les universités ont tort d’admettre des femmes dans des programmes coûteux tels que la médecine, alors qu’en fait, un grand nombre d’entre elles quitteront leur emploi après quelques années pour élever leurs enfants.
Personnellement, je ne voudrais pas passer beaucoup de temps en compagnie d’une personne âgée.
Pour finir

En utilisant l'échelle suivante, veuillez indiquer dans quelle mesure les énoncés ci-dessous s’appliquent à vous (1 – Tout à fait faux / 7 - Tout à fait vrai).

Si je me suis engagé(e) à faire quelque chose, je tiens toujours ma promesse.
Il peut m’arriver de douter de mes capacités.
Parfois, je «joue la comédie» pour échapper à quelque chose.
Je dis toujours des choses favorables sur les autres.
J’apprécie rarement la critique.
Il m’arrive d’être triste.